La multiplication, récente, rapide et à grande échelle, de l’activité humaine et des progrès technologiques (antennes téléphoniques, téléphones portables, wimax, wifi, tableaux électriques…, a amélioré notre vie, mais elle peut aussi avoir un impact négatif. Les fonctions vitales des êtres vivants sont basées sur l’électricité, ainsi les champs électromagnétiques artificiels interfèrent négativement sur nos cellules. Elles émettent des champ électromagnétique mesurables grâce à des appareils électroniques : les champs-mètres. Certaines sources de champs électromagnétiques produisent des champs de torsion.
Nous pouvons distinguer 3 types de mesures :
Un groupe de 20 scientifiques indépendants a publié en 2007 le rapport “Bio Initiative” dans lequel ont été analysées environ 2000 études concernant les effets des rayonnements électromagnétiques sur la santé. Ils recommandent de fixer à 1 mg la limite d’exposition de longue durée aux champs magnétiques de basse fréquence.
Par mesure de précaution, je préconise selon la sensibilité de l’individu de ne pas s’exposer à plus de 2 à 5 v/m, et 0,2 à 0,5 mg, pendant une longue durée.
Il est produit par les antennes téléphoniques, les téléphones portables, le wifi, le bluetooth, les micro-ondes, …
En France la norme est de 41 volts/mètre. Mais une directive européenne, revue en 2004 et traduite en droit français par un arrêté de 2006, impose une norme à ne pas dépasser de 3 v/m. Selon les scientifiques, avec le rapport “Bio Initiative”, il faudrait ne pas s’exposer à plus de 0,6 v/m. Et pour les zones de repos (chambre…): 0.020 v/m.
Le plus simple et conforme au bon sens, consisterait à arrêter, lorsque l’on peut, les sources de pollution électromagnétique ou de s’en préserver (éloignements, mises à la terre,…) Nous avons vu précédemment que le champ électromagnétique est accompagné généralement de champs de torsions gauches défavorables à la biologie du vivant.
Avec un réseau de scientifiques, ingénieurs (Alexandre Rusanov) et géobiologues (Jean Uguen, Président de l’Association Prosantel dont je fais partie), nous avons développé un protocole d’analyse et de traitement de ces troubles.
Pour ma part j’utilise, entre autre, des dispositifs composés de plantes amazoniennes ou d’ailleurs, et certains minéraux permettant d’inverser les champs de torsions gauches en droits, je pratique une sorte d’homéopathie.
Grâce à ce réseau, mes dispositifs sont en évolution permanente afin de s’adapter aux puissances et au cumul des nuisances actuelles. Cette correction ne s’oppose pas à une force physique ( elle ne supprime pas le champ électromagnétique) mais change la nature, l’information du rayonnement qui est à l’origine du problème.
Mon but n’est pas de les contrer mais de changer leur caractéristiques vibratoires.
Lorsque une antenne téléphonique, un transformateur EDF, un tableau ou une prise de terre électrique, une éolienne,… se situent sur une zone de faille, cela peut entrainer des perturbations dangereuses pour la santé des humains ou des animaux se trouvant à plusieurs kilomètres.
Le rapport de l’Afsset met en évidence l’existence d’effets des radiofréquences sur des fonctions cellulaires, rapportés par une dizaine d’études expérimentales considérées par l’Afsset comme incontestables.
> Voir la suite sur afsset.fr
> Les 10 conseils des scientifiques
> Vous pouvez savoir où sont les antennes téléphoniques près de chez vous en consultant le site cartoradio.fr
> “Antenne téléphoniques” sur le site prosantel.net
> “Les animaux nous poussent à tirer la sonnette d’alarme !” sur le site prosantel.net
> La géobiologie au secours des Hommes et des animaux sur prosantel.net (PDF)